• Calendrier de juin de mon amie Yvette 

    Holaf44.centerblog.net 

    Merci ma douce amie d'être toujours présente 

    je remercie toutes les personnes qui sont passées pendant mon absence 

    et mille merci à mon amie Joyce qui vient de me ramener à mon domicile 

    je vais la voir moins hélas maintenant nous habitons plus loin 

    l'une de l'autre mais nous resterons en contact Joyce me l'a promis 

    Heureuse de vous retrouver j'ai beaucoup de mail à lire et à répondre je ferais 

    petit à petit j'ai déjà supprimé toutes les pubs mais il en reste énormément 

    alors ne vous inquiétez pas mais je regarderais tout c'est promis 

    à bientôt je ne publierais pas tous les jours enfin je n'en sais rien je verrais bien 

    bisous bisous à toutes et tous.

    Me revoilà tout doucement .......


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  • Article programmé 

    posté pour votre plaisir en mars peut être ceci sera décalé avec 

    le regard que vous posez sur mon blog ce jour 

    Ne vous inquiétez pas j'ai quelques idées donc je fais quelques articles 

    pour les jours suivants en espérant revenir avant ..... 

    Gros bisous mes amies et amis 

    Ici (l'image)       Ici (le blog)

    Merci ma Sonnette 

    Citations sur les chats

     

    Quel plus beau cadeau que l'amour d'un chat ?

    Charles Dickens

     

     

    Toute personne ayant un jour vécu

    avec un chat sait parfaitement que les chats

    font preuve d'une patience infinie envers

    les limites de l'espèce humaine.

    Cleveland Amory

     

     

    Profondément , nous sommes tous

    motivés par les mêmes impulsions.

    Les chats ont le courage de les assumer.

    Jim Davis

     

     

    Au commencement,

    Dieu créa l'homme, mais le voyant si faible,

    il lui donna le chat.

    Warren Eckstein

     

     

    Les chats ont tout.

    L'admiration, un sommeil sans fin,

    et de la compagnie quand ils le veulent.

    Rod McKuen

     

     

    J'ai vécu avec plusieurs maîtres zen.

    Tous des chats.

    Eckhart Tolle

     

     

    Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu.

    Colette

     

     

    A fréquenter les chats,

    on ne risque que de s'enrichir.

    Colette

     

     

    Une maison sans chat, que c'est vide !

    Bertand Vac

     

     

    Tout le monde veut devenir un cat

    Les aristochats

     

     

    Petit à petit, les chats deviennent l'âme de la maison.

    Jean Cocteau

     

     

    Il y a peu de choses dans la vie

    plus réconfortantes que d'être accueilli par un chat.

    Tay Hohoff

     

     

    Les chiens ont des maîtres,

    les chats ont des serviteurs.

    Dave Barry

     

     

     

    ......... Je reviens demain gros bisous à toutes et tous 


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    Gros bisous mes amies et amis 

    Ici 

    Image du Blog mamietitine.centerblog.net
    Source : mamietitine.centerblog.net sur centerblog.

     

     

    Lol C'est moi au petit déjeuner (avec mon ami virtuel) 


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    ....4....

     

    Beaucoup, beaucoup plus haut, il s'arrêta tout essoufflé. Il ôta le bouchon de sa bouteille et se pencha. Alors, patiemment, se courbant et se relevant, Afrasène alla d'une fleur à l'autre - comme l'abeille qui butine - en prenant bien soin de ne pas les aplatir sous ses semelles. 

     

    Si quelqu'un avait pu le voir, ce quelqu'un là aurait été bien intrigué par son manège. Les fleurs, il ne les cueillait pas. D'abord, il humait leur parfum et se désintéressait de celles, - si belles pourtant, si colorées -qui n'exhalaient aucune odeur. 

     

    Par contre, il écartait très délicatement, du bout des doigts, les pétales de celles dont le parfum chatouillait agréablement ses narines. Puis, au creux de la corolle, dans le coeur même de la fleur, il recueillait une infime gouttelette du suc odorant. Avec mille précautions, il le faisait couler dans la bouteille qu'il refermait à chaque fois afin d'en conserver l'arôme. 

     

    Cette récolte dura longtemps, très longtemps ! Les heures passaient et le jeune garçon  continuait sa tâche. A force de se courber et de se relever, son dos était douloureux, mais il s'obstinait. 

     

    Le soleil baissait sur l'horizon, le vent avait fraîchi. Il faisait froid déjà et les doigts d'Afrasène s'engourdissaient. Sur les pentes de la montagne couraient de grandes traînées d'ombre bleue. De brusques bourrasques chassaient les quelques nuages accrochés aux sommets les plus pointus. 

    Tout là haut dans les éboulis, non loin de l'entrée de sa grotte, le bon géant se morfondait. Depuis le début de la matinée, il attendait, assis sur un roc énorme. Maintenant que le soir tombait, Gentigigan n'espérait plus la visite du berger. 

     

    - Ce que j'ai pu être naïf de croire qu'il reviendrait ! soupirait il tristement. 

    Soudain il sentit comme un tiraillement sur sa cheville droite. Baissant les yeux, il vit une sorte d'insecte qui s'agitait dans l'herbe. L'ayant saisi avec douceur et approché de son visage . Il éprouva une immense joie en reconnaissant le jeune Afrasène. Celui ci s'égosillait en vain. Le bon géant se hâta de l'approcher de son oreille et, dans ce gouffre noir comme un puits, le berger cria :

     

    " J'ai rempli ma mission ! Regardez ce que je vous apporte ! Mais, attention, c'est très fragile : 

    Tout en souriant malgré sa grande fatigue, il brandissait fièrement sous le regard de Gentigigan  un minuscule objet brillant. Le géant bien entendu, ne pouvait pas deviner que c'était là une bouteille. Avec d'infinies précautions, il se saisit de cette chose inconnue. Sur sa main ouverte, la bouteille n'avait même pas la taille du plus petit des flacons. C'était comme une perle transparente, de forme allongée, à peine plus grosse à proportion qu'une tête d'épingle. 

    Le garçon s'amusait beaucoup de la surprise de Gentigigan . Enlevez le bouchon, dit il.

    Mais il réalisa aussitôt que c'était chose impossible pour les gros doigts du géant. Il tira de sa poche un morceau de solide cordelette dont il se servait pour lier les pattes des veaux nouveau-nés qu'il lui fallait transporter sur ses épaules. Habilement, il en entoura le bouchon et fit une large boucle que Gentigigan put saisir, assez difficilement il est vrai. 

    - Sentez maintenant ! dit le garçon.

    Le géant approcha l'étrange objet de ses narines et inspira le plus doucement qu'il put. Alors lui parvint un parfum extraordinaire fait des milliers de fleurs de la montagne, ce parfum dont le vent, parfois, lui apportait de délicieuses bouffées. Et il sentit monter dans ses yeux de douces larmes de bonheur. 

    - Merci, dit il tout ému à Afrasène? Tu ne sauras jamais quelle joie tu me donnes aujourd'hui. En échange, je t'offre mon amitié. Si je peux te rendre un service, quel qu'il soit, n'hésite pas à le demander. 

     

    Le jeune berger était tout heureux du plaisir qui brillait dans le regard du bon géant. Jusqu'à la fin de leurs jours, ils restèrent les meilleurs amis du monde. 

     

    A plusieurs reprises, comme l'odeur à la longue s'évaporait, Afrasène dut à nouveau remplir la bouteille. Mais c'était bien volontiers qu'il partait en quête du suc des fleurs de la montagne. La joie éclatante de Gentigigan  était sa récompense.

     

    Et c'est ainsi, grâce à la gentillesse d'un jeune berger pour un bon géant malheureux, c'est ainsi que naquirent les parfums. 

     

    Mais c'était il y a longtemps, bien longtemps..... dans le Monts d'Auvergne, là-haut près des nuages......

    Le bon géant qui aimait les fleurs... 4....

    PHOTO - LAVOUTE CHILHAC

    J'espère que ce conte vous a plu en tous cas moi ça m'a plu de le raconter comme aux petits de l'école de Saint Hilaire, ils sont tous contents que le parfum a été créé dans notre belle région !!!! Gros bisous Mado


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    ...3....

     

    Quand le géant eut fini son histoire, Afrasène resta longtemps sans parler. Il réfléchissait de son mieux pour trouver un moyen de consoler le bon géant ami des fleurs. Au bout d'un moment, il trouva une solution. Il aurait pu cueillir lui-même un bouquet - en prenant bien soin de n'écraser aucune fleur - et l'offrir à Gentigigan qui pourrait le respirer tout à loisir. Mais cueillir les fleurs, c'est aussi les faire mourir. Le garçon se rendit compte que son idée n'était pas bonne. 

     

    Ecoute, dit-il, il me faut réfléchir à ton problème. On dit que la nuit porte conseil. Laisse moi aller, je te promets de revenir demain. Je suis sur que j'aurai trouvé. 

    - Je te fais confiance, répondit le géant qui le déposa doucement dans l'herbe. Reviens demain, je t'attendrais à la même place. 

     

    Afrasène ramassa son bâton et, à toutes jambes, dévala la pente jusqu'à la maisonnette de pierres grises qui abritait les bergers. Le garçon pensa raconter son aventure à  ses trois compagnons. Mais il craignit d'attirer sur lui leurs moqueries : 

     

    - Un géant ! Et quoi encore ? Tu t'es endormi au soleil et tu as rêvé mon pauvre gars ! Un géant ! Tout le monde sait bien que ça n'existe pas, voyons !

     

    Non, il valait mieux garder tout cela pour lui. C'était bien dommage car l'un ou l'autre des bergers aurait peut-être trouvé une idée. Afrasène se touna et se retourna des dizaines de fois sur son lit de paille ; il se creusait la tête à en avoir la migraine.... mais rien ne venait. Enfin, épuisé, il s'endormit. 

     

    Le lendemain maitn, tandis qu'il tempait un gros quignon de pain dans son bol de lait, le garçon cherchait toujours un moyen d'aider le bon géant. Comment, comment diable arriver à lui faire respirer le parfum des fleurs sans en sacrifier plusieurs centaines ?

     

    Soudain ! le regard d'Afrasène se porta sur les bouteilles où les bergers conservaient le lait pour leur consommation journalière - le reste servait à fabriquer des fromages. Il y en avait trois pleines et deux vides. Ces dernières, bien rincées, brillaient dans un renfoncement du mur.

     

    A cette vue, un déclic se fit dans la tête du jeune homme. En un clin d'oeil, il acheva son repas, se saisit d'une bouteille vide sans oublier le bouchon et, sans plus attendre, se précipita au-dehors.

    Il faisait un temps magnifique, le ciel était d'un bleu vif et lumineux sans le moindre nuage. L'air était encore frais car le soleil se levait tout juste. Ses rayons jetaient sur les montagnes de larges coulées jaune d'or. Dans l'herbe des pâturages mouillée de rosée, les leurs s'éveillaient. 

     

    De loin, l'un des bergers vit Afrasène qui, à toute allure, gravissait la pente herbeuse. il mit ses mains en porte voix et cria : 

    Afrasène, où cours tu si vite ? C'est bientôt l'heure de la traite, reviens ! tu m'entends ? Reviens ! 

    Le vent portait sa voix jusqu'au jeune hmme, mais il fit la sourde oreille. Ce qu'il avait à faire était bien plus pressé et bien plus important que de traire les vaches. Pour une fois que les aurtres se débrouillent sans lui ! Et il se remit à courir. 

     

    ...3.....


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